Conseils saisonniers

Livres? OK! Chaussures de course? OK! Lavabo de cuisine? OK!

Nouvelles HGJ, Automne 2009

Ces jours-ci, surtout avec la rentrée des classes, les gens semblent trimballer un peu n’importe quoi dans leur sac à dos. Selon Sheila Maislin, chef d’ergothérapie à l’HGJ (physiatrie), un grand nombre de personnes ne se rendent pas compte à quel point cela peut nuire au dos. Voici donc ce qu’elle suggère :

  • Taille : Lorsque votre sac à dos est bien ajusté, son panneau arrière doit tomber entre vos épaules, juste au-dessus du coccyx. S’il tombe plus bas, c’est qu’il est trop grand pour vous.
  • Sangles : Assurez-vous toujours que votre sac à dos est muni de deux sangles, si possible rembourrées, qui mesurent au moins deux pouces de largeur. Vous réduirez ainsi la pression qui s’exerce sur le dos et les risques de douleurs au dos.
  • Poids : Votre sac à dos ne devrait pas peser plus de 10 à 15 % de votre poids corporel. S’il est plus lourd, vous risquez d’infliger une pression inutile aux muscles de votre dos et de vos épaules.
  • Déposez votre sac : On commet souvent l’erreur de ne pas enlever son sac à dos en faisant la queue ou en attendant l’autobus. Si possible, laissez reposer vos muscles et déposez votre sac par terre, à côté de vous.

Les allergies : une autre raison d’éternuer

Même si l’hiver n’est plus qu’un vague souvenir, pour bien des gens la véritable saison des éternuements est à venir. Avec le retour de la chaleur et de la verdure, nous serons bombardés par le pollen des arbres bourgeonnants (au début du printemps), de l’herbe (du milieu à la fin du printemps) et de l’herbe à poux (du milieu à la fin de l’été). La seule façon de se soulager est d’éviter les sources de contamination par le pollen et de prendre des médicaments qui réduisent les symptômes, conseille le Dr Peter Small, chef de la Division d’allergie et d’immunologie et professeur agrégé du département de médecine at McGill University.

Que pouvez-vous faire contre les yeux larmoyants et le nez qui coule? Le Dr Small suggère de rester à l’écart de son agresseur, tôt le matin, quand le taux de pollen est le plus élevé. Par ailleurs, ce dernier est moins menaçant durant les journées calmes et lors des baisses de température. En effet, les allergies ont tendance à frapper plus fort durant les journées chaudes et venteuses. Quant aux traitements, le Dr Small affirme que la plupart des gens réagissent bien aux antihistaminiques non sédatifs en vente libre. Comme ces médicaments sont préventifs, il recommande aux utilisateurs de commencer à les prendre avant le début de la saison du pollen.

Les personnes qui ont besoin d’un produit plus puissant reçoivent souvent une ordonnance de cortisone sous forme de solution pour pulvérisation nasale, car les effets secondaires des stéroïdes inhalés sont pratiquement inexistants. Mais en raison des risques d’effets secondaires sérieux associés à d’autres formes de stéroïdes, la cortisone est rarement prescrite par voie orale, et jamais sous forme d’injection. Les patients peuvent également recevoir une série d’injections pour réduire leur sensibilité au pollen. Cette thérapie exige beaucoup de temps, mais elle agit sur l’allergie plutôt que de traiter simplement les symptômes.

Si vous n’avez jamais souffert d’allergies, mais que vous croyez souffrir d’un vilain rhume qui persiste ou, si chaque année à la même période, vous attrapez un gros rhume, vous êtes peut-être allergique. Nous vous conseillons de consulter un allergologue pour passer des tests. « Malgré la croyance populaire, il n’y a rien à craindre, informe le Dr Small. On ne vous fera pas d’injection, juste quelques égratignures superficielles et indolores sur le bras. Le test est peu coûteux, efficace et rapide, et vous saurez immédiatement, une fois pour toutes, si vous êtes vraiment allergique. »

 

Les allergies : une autre raison d’éternuer

Nouvelles HGJ, Printemps 2007

Même si l’hiver n’est plus qu’un vague souvenir, pour bien des gens la véritable saison des éternuements est à venir. Avec le retour de la chaleur et de la verdure, nous serons bombardés par le pollen des arbres bourgeonnants (au début du printemps), de l’herbe (du milieu à la fin du printemps) et de l’herbe à poux (du milieu à la fin de l’été). La seule façon de se soulager est d’éviter les sources de contamination par le pollen et de prendre des médicaments qui réduisent les symptômes, conseille le Dr Peter Small, chef de la Division d’allergie et d’immunologie et professeur agrégé du département de médecine at McGill University.

Que pouvez-vous faire contre les yeux larmoyants et le nez qui coule? Le Dr Small suggère de rester à l’écart de son agresseur, tôt le matin, quand le taux de pollen est le plus élevé. Par ailleurs, ce dernier est moins menaçant durant les journées calmes et lors des baisses de température. En effet, les allergies ont tendance à frapper plus fort durant les journées chaudes et venteuses. Quant aux traitements, le Dr Small affirme que la plupart des gens réagissent bien aux antihistaminiques non sédatifs en vente libre. Comme ces médicaments sont préventifs, il recommande aux utilisateurs de commencer à les prendre avant le début de la saison du pollen.

Les personnes qui ont besoin d’un produit plus puissant reçoivent souvent une ordonnance de cortisone sous forme de solution pour pulvérisation nasale, car les effets secondaires des stéroïdes inhalés sont pratiquement inexistants. Mais en raison des risques d’effets secondaires sérieux associés à d’autres formes de stéroïdes, la cortisone est rarement prescrite par voie orale, et jamais sous forme d’injection. Les patients peuvent également recevoir une série d’injections pour réduire leur sensibilité au pollen. Cette thérapie exige beaucoup de temps, mais elle agit sur l’allergie plutôt que de traiter simplement les symptômes.

Si vous n’avez jamais souffert d’allergies, mais que vous croyez souffrir d’un vilain rhume qui persiste ou, si chaque année à la même période, vous attrapez un gros rhume, vous êtes peut-être allergique. Nous vous conseillons de consulter un allergologue pour passer des tests. « Malgré la croyance populaire, il n’y a rien à craindre, informe le Dr Small. On ne vous fera pas d’injection, juste quelques égratignures superficielles et indolores sur le bras. Le test est peu coûteux, efficace et rapide, et vous saurez immédiatement, une fois pour toutes, si vous êtes vraiment allergique. »

Quelques mises en garde au sujet des sports d’été

Nouvelles HGJ, Été 2007  

Même si l’hiver n’est plus qu’un vague souvenir, pour bien des gens la véritable saison des éternuements est à venir. Avec le retour de la chaleur et de la verdure, nous serons bombardés par le pollen des arbres bourgeonnants (au début du printemps), de l’herbe (du milieu à la fin du printemps) et de l’herbe à poux (du milieu à la fin de l’été). La seule façon de se soulager est d’éviter les sources de contamination par le pollen et de prendre des médicaments qui réduisent les symptômes, conseille le Dr Peter Small, chef de la Division d’allergie et d’immunologie et professeur agrégé du département de médecine at McGill University.

Que pouvez-vous faire contre les yeux larmoyants et le nez qui coule? Le Dr Small suggère de rester à l’écart de son agresseur, tôt le matin, quand le taux de pollen est le plus élevé. Par ailleurs, ce dernier est moins menaçant durant les journées calmes et lors des baisses de température. En effet, les allergies ont tendance à frapper plus fort durant les journées chaudes et venteuses. Quant aux traitements, le Dr Small affirme que la plupart des gens réagissent bien aux antihistaminiques non sédatifs en vente libre. Comme ces médicaments sont préventifs, il recommande aux utilisateurs de commencer à les prendre avant le début de la saison du pollen.

Les personnes qui ont besoin d’un produit plus puissant reçoivent souvent une ordonnance de cortisone sous forme de solution pour pulvérisation nasale, car les effets secondaires des stéroïdes inhalés sont pratiquement inexistants. Mais en raison des risques d’effets secondaires sérieux associés à d’autres formes de stéroïdes, la cortisone est rarement prescrite par voie orale, et jamais sous forme d’injection. Les patients peuvent également recevoir une série d’injections pour réduire leur sensibilité au pollen. Cette thérapie exige beaucoup de temps, mais elle agit sur l’allergie plutôt que de traiter simplement les symptômes.

Si vous n’avez jamais souffert d’allergies, mais que vous croyez souffrir d’un vilain rhume qui persiste ou, si chaque année à la même période, vous attrapez un gros rhume, vous êtes peut-être allergique. Nous vous conseillons de consulter un allergologue pour passer des tests. « Malgré la croyance populaire, il n’y a rien à craindre, informe le Dr Small. On ne vous fera pas d’injection, juste quelques égratignures superficielles et indolores sur le bras. Le test est peu coûteux, efficace et rapide, et vous saurez immédiatement, une fois pour toutes, si vous êtes vraiment allergique. »

Quelques mises en garde au sujet des sports d’été 

Avec l’arrivée de la chaleur, certains s’imaginent qu’il est relativement facile de se transformer en super athlète du jour au lendemain. « En fait, il faut plus qu’une température clémente, souligne le Dr Ian Shrier, spécialiste de médecine sportive à l’HGJ. Cela exige de posséder un bon lot d’énergie pour devenir actif et éviter les blessures. Tout comme le passage graduel du printemps à l’été, nous avons besoin de nous adapter petit à petit aux fortes exigences du jogging, du tennis, de la bicyclette, du baseball et d’autres sports similaires. »

Selon le Dr Shrier, investigateur au Centre d’épidémiologie clinique et de recherche en santé publique et professeur agrégé de médecine familiale à l’Université McGill, chacun doit trouver, pour commencer, un niveau d’activité confortable et sécuritaire. Une fois l’organisme habitué à ce type d’effort, il est possible d’en faire plus en variant, avec modération, trois aspects de l’exercice :

  • La fréquence : la fréquence de l’effort. Malgré vos bonnes intentions, un programme quotidien n’est peut-être pas une bonne chose dès le départ. Commencez par deux ou trois jours par semaine, puis augmentez la fréquence.
  • L’intensité : le degré d’effort fourni durant chaque séance. En d’autres termes, ne commencez pas en joggant sur des côtes raides ou en levant des poids très lourds. Exercez-vous à un rythme modéré et augmentez graduellement le niveau de difficulté.
  • La durée : la durée de chaque séance. Peut-être pouviez-vous faire du jogging durant une heure, l’été dernier. Pour le moment, ce n’est pas la façon de commencer. Essayez de faire une séance de 15 minutes, puis augmentez la durée.

Bien que ces principes s’appliquent aussi à la natation, le Dr Shrier précise que les nageurs devraient également varier leurs battements durant chaque séance, en alternant, par exemple, entre le crawl et la brasse.

Il ajoute : « Cette approche graduelle est importante même pour les personnes qui font des activités comme le patin ou le ski de fond durant les mois d’hiver. Votre cœur et vos poumons sont peut-être en forme, mais vos muscles travaillaient différemment. Ils ont besoin de s’ajuster aux nouvelles exigences des sports d’été. »

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